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Améliorer la santé mentale des salariés
En cette période de Covid-19, un élément essentiel se met en exergue : La santé mentale des salariés. Judith Butler, Philosophe Américaine : « Certains pensent être plus dignes d’être pleurés que d’autres.» Le contexte de la pandémie de Covid-19 a prouvé l’interconnexion fondamentale dont Butler parlait alors : « Ma vie est étroitement liée à la tienne sans que nul contrat ne le stipule. Elle est aussi liée à la vie d’autres individus que je ne connais pas, dont je ne parle pas la langue, et qui habitent très loin de moi.» Dans de nombreux pays, les chiffres sur la santé mentale des salariés ne cessent de se dégrader. Il en ressort que la généralisation du télétravail avait créé et crée une forme d’isolement pour nombre de salariés et accroît les risques psychosociaux. Les taux de détresse psychologique et de dépression plus marqués chez les jeunes, les femmes, les travailleurs et les managers. Dans ce contexte de crise sanitaire, on assiste de même à une explosion du Burn-out.
Toujours selon ce même baromètre, six sur dix estiment que leur direction ne se rend pas compte de l’état psychologique des équipes et n’agit pas suffisamment. Pour étayer notre approche : 👉 Info-social-Rh Tout ceci se retrouve exacerbé par une forte intensité concurrentielle qui selon certains employés, se répercuterait de façon insidieuse à l’ensemble de la masse salariale de l’entreprise. La santé mentale devient un enjeu majeur pour assurer un retour à l’équilibre et remet l'humain au centre des prérogatives. Une certaine forme de violence accompagne cet état de fait tant l’environnement s’assombrit et ne laisse que peu de place à des perspectives réjouissantes. Miser sur la santé des salariés, c’est miser sur la croissance. La régularisation des émotions est la source de notre identité, des valeurs qui donnent sens à notre vie. Pour répondre à cet enjeu majeur de santé mentale nous vous proposons deux axes d’approche : La QVT
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Témoignage* C’est sur Twitter que l’alerte a été lancée au mois de mars. Treize jeunes banquiers de Goldman Sachs étaient au bord de la crise de nerfs. Depuis le début de l’année, ils travaillaient en moyenne quatre-vingt-dix-huit heures par semaine, dormaient cinq heures et ne se couchaient pas avant 3 heures du matin. Les juniors ont imité une présentation à la Goldman Sachs, pleine de statistiques. Sur une échelle de 1 à 10, ils ont autoévalué:
" A un certain moment, je ne mangeais plus, je ne me douchais plus, je ne faisais rien d’autre que travailler", témoigne l’un d’eux sous le couvert de l’anonymat. " J’ai connu l’orphelinat", dit un autre, "c’est pire." " C’est inhumain ", ajoute un collègue, tandis que son camarade de souffrance avoue avoir des " idées sombres ". On se dit, à bientôt!!! 🙂 |
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